au seuil de l’autre

PIERRE MAITRE

Edition Hubwiser 

Ce livre est un recueil d’essais de Pierre Maistre, Docteur en sciences de l’éducation. 20 ans de travail, de recherche, d’observation, de réflexion philosophique et théologique sur un thème commun : L’AUTRE
Ce livre nous parle de l’adoption et de l’abandon, de la filiation et de l’accompagnement des parents adoptifs pour arriver à la question
 » Qu’est-ce qui est sacré dans la relation à l’autre ? »

Cet ouvrage, à la fois pointu et accessible, pourra intéresser celles et ceux qui, adoptés ou adoptants, vivent l’adoption, c’est-à-dire en réalité tout le monde. Il pourra aussi intéresser l’ensemble des travailleurs sociaux, en activité ou en formation initiale ou supérieure, les formateurs et les enseignants. Enfin, il pourrait aussi intéresser celles et ceux qui voient dans l’Autre le sacré qu’ils cherchent.

L’AUTEUR
     Pierre MAISTRE a exercé son métier d’assistant social en protection de l’enfance, en polyvalence de secteur et au service des adoptions. Docteur en sciences de l’éducation, il est intervenu comme formateur dans les écoles de formation initiale et supérieure en travail social. Enseignant-chercheur, il a enseigné à l’ISPEF (Institut des Sciences et Pratiques d’Education et de Formation Université Lyon2).

Au seuil de l’autre, à retrouver dès à présent à la librairie
Montbarbon
14 Pl. Carriat, 01000 Bourg-en-Bresse
… et disponible en ligne sur le site Montbarbon.com

RÉSUMÉ
    Le seuil à lui seul invite au passage, à l’initiation, et aux risques de la découverte et de la vie. Il introduit au sacré qui rencontre alors notre humanité. Voilà qui pourrait nous conduire à nous construire une représentation de Dieu qui ne serait pas à rechercher ailleurs que dans ce verbe, que dans cette parole qui nous dépasse et que nous pouvons entendre et comprendre en prêtant l’oreille à l’Autre. Cet Autre, infini et infiniment autre, que nous rencontrons chaque jour, et qui vient nous dire aussi une part de nous-même. Cet Autre, si différent et si universel, si semblable et si autre n’est autre que soi-même. Car nous le savons bien, la difficulté n’est pas de reconnaître l’autre comme différent, n’est pas de reconnaître la différence de l’autre, cette reconnaissance là, faussement, rassure par son étrangeté si étrange et si étrangère ; la difficulté est de reconnaître l’autre comme le même que soi et de voir dans l’étrangeté même de cet autre sa propre intimité, sa propre identité. L’autre nous est aussi miroir de nous-même. Au seuil de l’autre, nous entrons en notre intériorité.